Les amis de la Diaspora – Manchester et les elections en République Démocratique du Congo Diasporamis et la bonne gouvernance en R.D.C avant les élections.
Dans sa reflection pêle mêle, Diasporamis s’est penché sur les enjeux politiques et les elections prochaines en RDC. Les élections présidentielles de 2011 s’avance à grandes enjambées et des phénomènes bizarres s’intensifient aussi. La désignation, par le vote d’électeurs, de personnes destinées à occuper une fonction politique, économique ou sociale : les élus. Nous pensons aux présidentielles congolaises : R. D. Congo.
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Diasporamis Manchester, s’est penché la dessus et se pose des questions. On se demande ce qui pourrait se passer Certainement que les Congolais en ont marre du systeme qui jusqu’alors est resté ancré dans nos murs et aussi la peur des asoiffés du pouvoir qui vivent soit en occident ou en Afrique. Nous ne reviendrons pas dans les principles aristocratiques mais prenant sa source dans les institutions politiques des cités de l’antiquité, la pratique de l’élection est à l’origine un concept aristocratique ; le choix des membres du peuple pour l’exercice de la fonction de magistrat (de « commandeur ») s’effectuant normalement par tirage au sort et non pas par vote ou élection. Cela nous conduirait encore plus dans la traversée du desert.
Nos candidats viennent avec des projects de societies confectionnés par d’éminents juristes mais une fois arrivés au pouvoir, ils pensent a autres choses. Mais, placé en face d’une opposition inféodée, minée, divisée, sans repères ni vision cohérente, Le pouvoir en place peut dormir tranquillement sur ses lauriers car le systeme qui fait tourner la machine vient de l’occident. Savez vous lequel de tous les candidats avait été choisi par eux ? Pour de vraie, les congolais doivent casser le systeme et après laisser le people choisir librement. Avec la diversité ethnique, la corruption risque de battre son recod. Les élections au Congo sont financées par les forces qui contrôlent le pays pour des intérêts qui leur sont personnels et jamais pour ceux de Congolais que beaucoup d’entre- nous sommes.
Le Congo étant devenu prisonnier des Anglo Saxons, nous risquons de connaitre des elections vraiment a l’Africaine. Allons choisir un inconnu, rien que pour battre le pouvoir en place ? Et ceux qui ne veulent pas des elections ; ne vont ils pas nous faire venir la guerre encore ? Les vrais Congolais refuseraient de tenir les armes contre eux meme. Rappelons aussi le fait que la RD Congo n’a jamais pu imprimer librement sa propre politique économique, à cause des pressions de puissances étrangères dont le premier objectif consisterait à contrôler nos ressources naturelles.
On se posera la question de savoir ce que c’est que la bonne gouvernance. Le congolais aime t-il son pays pour savoir instaurer une rigueur qui enmenerait nos pays au développement économique ? Qui est vraiment présidentiable ? C’est le candidat du people bouré de matieres grises et animé de bonne foie ; enfin bon diplomate car dit 0n : le vraie problem de la R.D.C c’est le congolais lui meme. Son manque d’amour pour son pays : c’ est un des problèmes. Mais le plus important des problème demeure pour la R.D.C. principalement le manque d’amour du congolais vis a vis de soi, de son frère ou sa soeur congolais et de son pays.
Bien de gens pensent que : C’est soit la bonne gouvernance ; qui frene le dévelopment de l’Afrique, ou alors le problème réside au niveau de l’homme africain et ipso facto sa culture. Notre culture est en quelque sorte inhibitrice du dévéloppement car il n’ y a pas toujours bonne gouvernance dans tous les pays riches. Madame M. Aronson, notre collaboratrice de Cardiffe, pense que tout congolais veut être leader et personne ne veut travailler loyalement pour notre pays.
Nos politiciens savent bien parler mais il en ressort que les analyses élémentaires les plus objectives tendent toutes à démontrer que le problème du Congo est un problème d’hommes. Un problème réel de leadership bien inspiré et dynamique, prêt à privilégier l’intérêt du pays au détriment de l’intérêt personnel. C’est aussi un problème d’un manque d’une vision claire de ce que l’on veut et où l’on veut amener le pays. C’est surtout un problème de la volonté d’instauration d’un système de gouvernance efficace et qui témoigne de sa compétence, pouvant entraîner la population vers plus de productivité. Huy ! La bonne gouvernance...
Rangot Tsasa
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